Mon SPGQ – Nathalie Côté

Le SPGQ est le plus grand syndicat de personnel professionnel du Québec. Mais qui travaille en coulisse pour défendre les membres et faire progresser leurs conditions de travail? Dans cette chronique, votre syndicat vous présente ses artisans et artisanes.  

Nathalie Côté 

Quel est votre poste au SPGQ?

Poste : conseillère en communication 

En quoi consiste votre travail pour le syndicat?  

Les personnes conseillères en communication du SPGQ offrent des conseils stratégiques aux artisans du syndicat en matière de communication. Elles contribuent également à la conception et à la diffusion de différents messages à travers ses outils de communication comme le site Internet, les infolettres, les publicités, les vidéos et les réseaux sociaux. Elles s’occupent également des relations avec les médias. 

Comment votre travail aide-t-il les membres?    

Le travail de l’équipe des communications permet aux membres d’être mieux informés sur une foule de sujets comme les actions du syndicat pour les défendre (ex. : griefs), leur convention collective, leurs négociations, etc. Ainsi, ils peuvent mieux exercer leurs droits et participer à la vie démocratique du syndicat.  

Nous contribuons aussi à porter leurs enjeux et leurs revendications sur la place publique et à faire pression sur les décideurs, au bénéfice des membres.  

Pourriez-vous donner un exemple d’une chose que vous avez accomplie pour les membres et qui vous rend fière?  

Dès le premier jour de la pandémie, l’équipe des communications a été particulièrement efficace pour informer les membres de toutes les mesures et directives des employeurs quant à la situation. Certains membres nous ont même dit recevoir l’information plus vite de la part du syndicat que de leur gestionnaire!  

Avec la collaboration de nos collègues des autres services, nous avons aussi rapidement mis en place une foire aux questions pour aider nos membres à trouver facilement l’information dont ils avaient besoin. Le travail était intense, les heures nombreuses, mais j’étais fière de soutenir nos membres dans cette situation de crise.  

Je me souviens aussi avoir répondu à plusieurs d’entre eux, notamment sur nos réseaux sociaux, qui étaient en détresse. Certains s’inquiétaient pour leur santé fragile ou celle de leurs proches, d’autres, des parents de jeunes enfants, se demandaient comment tout concilier, par exemple. Je consultais mes collègues et je donnais l’information la plus juste possible. J’avais vraiment l’impression de faire une différence concrète pour ces membres-là.