Depuis 1995, le SPGQ était signataire de l’Entente sur l’organisation du travail dans la fonction publique. En effet, le 26 février 2010, le Secrétariat du Conseil du trésor transmettait aux ministères et organismes un communiqué spécifiant que l’entente-cadre sur l’organisation du travail dans la fonction publique en vigueur depuis 2004 était maintenant terminée. Cependant, le même communiqué encourageait les ministères et organismes à poursuivre les « tribunes de concertation patronale-syndicale » sur des sujets d’intérêt commun. Pour le moment, le SPGQ a pris la position de poursuivre le dialogue en matière d’organisation du travail en encourageant la signature d’ententes locales. En l’absence d’un nouveau cadre, voici comment se présentait jusqu’à tout récemment l’organisation du travail :
L’entente-cadre définissait notamment l’organisation du travail « comme une façon d’organiser, de structurer et de coordonner un ensemble d’activités et de tâches pour assurer, avec efficacité, efficience et économie, la prestation de services publics dans un environnement de travail sain et valorisant ».
Pour le SPGQ, la participation au CMOT vise à ce que le ministère ou l’organisme prenne en compte, dans ses décisions, les intérêts de nos membres et ceux de la population. Par conséquent, la participation des déléguées et délégués du SPGQ au CMOT devrait viser, entre autres, les objectifs suivants :
- Améliorer l’efficacité des services à la population et la qualité de vie au travail du personnel ;
- Collaborer à une gestion judicieuse et optimale des ressources humaines et financières ;
- Identifier des sources d’économie qui profiteront autant aux ministères ou organismes qu’à l’ensemble du personnel.